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Valérie Trierweiler : “Lorsque j’ai su, c’est comme si j’étais tombée d’un gratte-ciel”

Ce n’est pas une interview, mais une “conversation enregistrée”. Paris Match, qui est toujours l’employeur de Valérie Trieweiler, publie mercredi 29 janvier sur son site des déclarations de l’ancienne Première dame. L’hebdomadaire était dans le même avion que l’ancienne compagne de François Hollande, lors de son voyage humanitaire en Inde.

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Un vol pour Bombay, au lendemain de l’annonce par le président de la République de sa séparation d’avec Valérie Trierweiler. En Inde, celle-ci s’est déjà confiée, sans micro ni caméra, sur cette rupture “sans préavis”. Cette fois, Paris Match décrit une femme “à l’aise, parfois caustique, souvent touchante“. Francetv info vous résume les confidences de Valérie Trierweiler.

Son avenir

“Ce n’est pas parce que je ne suis plus Première dame que la vie s’arrête. Je continuerai avec le Secours populaire, avec Action contre la faim, avec la Fondation Danielle-Mitterrand. Avec Ela [association luttant contre les leucodystrophies] aussi, car ce sont les premiers à être venus me chercher quand j’étais Première dame et au plus mal après le tweet”, référence à son soutien au rival de Ségolène Royal aux législatives, Olivier Falorni.

Elle est une “femme libre, célibataire pour la première fois en trente ans”, dit-elle aussi au Parisien Magazine. “Je n’aimais pas les ors de l’Elysée. L’Inde, c’est un retour vers la liberté, loin du monde politique et de ses trahisons. Moi, j’assume ce que je suis, ce que je dis. On ne peut pas dire que je n’ai rien fait de bien en 19 mois”, ajoute Valérie Trierweiler.

La rupture

“Cela peut paraître étrange mais, pour moi, je ne traverse pas une période de crise. Ce n’est pas la première rupture dans ma vie. Elle est violente car elle est médiatique”, confie Valérie Trierweiler à Paris Match, qui décrit une femme “fatiguée, mais (…) souriante, chaleureuse”.

Les révélations de “Closer”

“J’entendais des rumeurs, évidemment, mais on en entendait sur tout le monde. J’en entends sur moi aussi, tout le temps. Je n’y prêtais pas attention. Lorsque j’ai su, c’est comme si j’étais tombée d’un gratte-ciel”, explique l’ex-Première dame, en reconnaissant toutefois que “le détachement avait commencé” avec François Hollande.

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