Originale, simple et raffinée, la marque Mathydy réinvente le design des montres pour en faire des bijoux précieux à l’ADN africain. Elles s’appellent Soundjata, Shaka Zulu, Lat Dior ou encore Nefertiti. Des rois et des reines emblématiques pour des montres sophistiquées et intemporelles.

C’est un couple d’expatriés sénégalais qui a eu l’idée de créer des montres de luxe, 100% made in Africa. Mathy et Idy sont rentrés à Dakar pour contribuer au développement du continent. Elle travaillait pour une banque au Canada et lui dans la télécommunication en France.
Deux personnes sans aucune expérience dans l’industrie de la joaillerie mais désireux de changer le marché africain. Armés de leur courage et envie, ils vont imaginer des produits de luxe qui allient tradition et modernité.
Chaque montre Mathydy raconte une histoire, celle d’une figure marquante de la construction de l’Afrique. Askia, Samory, Mansa Musa, Winnie ou encore Makeda, des personnages révolutionnaires qui personnifient parfaitement des produits tout aussi charismatiques.
Ces montres illustrent également le savoir-faire du continent. Des artisans locaux ont travaillé le bogolan pour en faire un fond de motif graphique, qui s’harmonise parfaitement avec des couleurs aussi foncées que claires du cadran. Des bracelets, soigneusement confectionnés en cuir ou métal, mettent en valeur cette petite touche ethnique qui fait son effet au poignet.
Le résultat donne des montres haut de gamme qui n’ont rien à envier à celles fabriquées par des grandes marques internationales. Des montres pour hommes et femmes, qui se vendent avec succès au Sénégal, en Côte d’Ivoire, mais aussi en France, en Belgique et en Suisse.
Une belle réussite que Mathy et Idy aimeraient bien voir se reproduire un peu partout par d’autres jeunes entrepreneurs du continent.
Les montres Mathydy sont livrées un partout dans le monde. Elles peuvent être commandées sur le site Internet de la marque : www.mathydy.com.

Zena TRAORé-
DIAKITé
Fondatrice &
Directrice de
Kennyce
Consulting &
Formation

Source: L’Essor- Mali