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Si ATT rentre à Bamako IBK perdra le pouvoir : Entre le Peulh et le Bambara ou Malinké, c’est une amitié sans lendemain

Le confident du peulh est toujours le bambara. Cependant ces deux ethnies entretiennent une amitié fragile. Il était une fois un peulh éleveur (Samba) qui passait tous les jours paitre son pâturage près du champ de son ami bambara (Zan). Un jour ses bœufs rentrent dans le champ du bambara et broutent une bonne partie des cultures.

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Enragé, l’agriculteur bambara brandit des menaces de morts à son ami peulh. Ce dernier paniqué par les faits s’excusa auprès de son ami agriculteur qui accepta le pardon de son ami éleveur. Lorsque la paix est revenue entre les deux hommes, le peulh est venu voir son ami qui dormait sous un arbre à côté de lui une gourde pleine de dolo. Il s’en saisit et boit le contenu sans s’inquiéter.

Quelques minutes après la consommation, le peulh était devenu si fort et si puissant qu’il se prenait t pour un Dieu. C’est ainsi qu’il réalisait que le bambara détenait un pouvoir chaque fois qu’il consommait sa boisson préféré (son dolo). Leur amitié devenait plus profonde : Samba et Zan s’installèrent dans le village fondé par Zan qui prit le nom de KoroZan.

Cependant Samba avait épousé plusieurs femmes bambaras qui lui donnèrent chacune beaucoup d’enfants. Lorsque le problème du choix du chef de village s’est posé, tous les habitants de Koro Zan ont désigné Samba parce que sa famille était plus nombreuse que celle du fondateur du village. Samba fut désigné chef du village fondé par Koro Zan. Cette histoire s’apparente au retour du général Amadou Toumani Touré au bercail formulé par ses partisans et une certaine presse. Ce qu’il faut retenir de cette chronique, ATT à qui l’on attribue d’appartenir à l’ethnie peulh est un renard, chassé du pouvoir pour haute trahison.

 

IBK serait le Malinké pas très futé en politique, une fois ATT à Bamako, IBK signera sa propre chute. Ainsi les villages fondés par Koro Zan et Dogo Zan prirent les noms de Korientzé et Douentza tous devenus par la suite des villages peulhs.

Source: L’Inter de Bamako

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