Parallèlement 35 dossiers ont été dénoncés au Pôle national économique et financier, dont 32 sont actuellement en traitement par les organes d’investigation, et un dossier a déjà été jugé. Ce bilan traduit l’efficacité croissante de la coopération entre les autorités judiciaires et le Bureau du Vérificateur Général, consolidée par la récente loi renforçant les prérogatives du BVG.
Le Général d’Armée Assimi Goïta a qualifié le rapport de «document de grande importance» qui traduit «notre engagement collectif en faveur de la transparence et de la bonne gouvernance». Le Chef de l’Etat a insisté sur la nécessité de renforcer la culture de l’intégrité dans la gestion des ressources publiques. «Ces constats sont des appels pressants à l’action», a déclaré le président de la Transition en ajoutant que les défis soulevés dans le rapport représentent des étapes cruciales pour la refondation de notre État.