Après l’ambassadeur de France, un journaliste de Jeune Afrique et l’interdiction de diffusion de RFI et France 24, les autorités maliennes continuent de se montrer intransigeantes avec des actions qu’elles considèrent comme tendancieuses.
La dernière personne à faire les frais de cette posture est le porte-parole de la Mission des Nations Unies au Mali (Minusma). Au Français, le gouvernement du Mali reproche des publications « inacceptables » sur Twitter affirmant que les autorités étaient informées de l’arrivée de 49 militaires arrêtés à l’aéroport de Bamako que l’Etat considère comme des mercenaires. Faute de pouvoir fournir de preuve, il a été sommé de quitter le territoire malien, le mercredi 20 juillet, dans un délai de 72h.
Source: Mali Tribune