A Aziz ainsi que dix autres personnalités, dont deux anciens Premiers ministres, d’anciens ministres et des hommes d’affaires étaient poursuivis pour « enrichissement illicite », «abus de fonctions », « trafic d’influence » ou « blanchiment».
Dans son prononcé, la Justice a ordonné la confiscation des biens acquis par des agissements tombant sous le coup de l’enrichissement illicite et le blanchiment, et prononcé la déchéance de M. Aziz de ses droits civiques.
La descente aux enfers se poursuit pour M. Aziz, 66 ans, qui rejoint la liste des rares ex-présidents à être condamnés pour des faits liés à leur exercice du pouvoir.
Après avoir passé plusieurs mois en résidence surveillé, Mohamed Abdel Aziz avait regagné la case prison depuis le 24 janvier 2023.
ARD/ac/APA
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