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MALI FESTI REGGAE: TAKANA ZION , VICTIME DE LA MALÉDICTION DE HAÏLÉ SÉLASSIÉ IER SUR LA COMMUNAUTÉ RASTAFARI DE BAMAKO

Nonobstant la présence du phénoménal TAKANA ZION, l´appui du site BAMADA-CITY (spécialiste de RAP) et la contribution de l´équipe de communication de RAS BATH, le festival de #Reggae a été un fiasco éclatant. Le passage de RAS KEBE, très impliqué, sur les antennes de l´ORTM, avait pour but de ramener les anciens militants du CDR à ce concert. Faut-il rappeler que la notoriété de RAS BATh et du CDR est un lointain souvenir et cet événement a fini d´en convaincre les plus sceptiques.

Pis, les sponsors qui ont du mal à lier leur image au lien ambiguë entre RASTAFARI et Marijuana, ont très mal accepté que les promoteurs dudit festival aient souillé l´héritage de Robert Nesta Marley avec l´image de Ras Bath.

Sommes-Nous en droit de voir ici une malédiction du Roi des rois, lion conquérant de la tribu de Juda, qui aurait foudroyé les intentions maléfiques de sa lumière ?

Sur cette vidéo de la la prestation de la grosse tête d´affiche du festival, en la personne de TAKANA ZION him self, le public qui a participé au festival de reggae est bien visible, en majorant et en étant complaisant, il n´est pas possible d´annoncer plus de 200 personnes, parce que la mélodie du message de cet échec est assourdissante. Takana Zion aurait ainsi joué devant le plus petit public de sa carrière, toute chose qui est à mille lieux des images de son retour triomphal en terre guinéenne. Takana Zion pourra-t-il se relever de l´échec de ce 23 février 2019 ?

DÉFINITIVEMENT RASTAFARI EST UNE MAYONNAISE QUI NE PREND PLUS SUR LES TERRES BÉNIES DE SOUNDJATA, DU FAIT DE LA VOLONTÉ AFFICHÉE DE CERTAINS ÉNERGUMÈNES QUI ONT VOULU TORDRE LE COUP AU MESSAGE DE MARCUS MOSIAH GARVEY ET DU «Negus» Haïlé Sélassié Ier, roi des rois d’Éthiopie, seigneur des seigneurs, lion conquérant de la tribu de Juda, lumière du Monde, élu de Dieu (Gärmawi Qädamawi Haylä Sellassé, negusä nägäst zä’Ityopya, moa anbessa zä’emnägädä yehuda, berhanä aläm, seyumä Egziabhér).

 

Source: Sotrama.info

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