Les actes auraient été commis lors du déroulement de l’élection présidentielle d’août.
Le scrutin a été invalidé début septembre par la Cour suprême.
Elle a été saisie par l’opposition.
L’enquête sera conduite par la police et l’agence anti-corruption.
Selon le directeur des poursuites publiques au Kenya, l’enquête doit être achevée dans un délai de trois semaines.
Uhuru Kenyatta, le président sortant avait été déclaré vainqueur avec 54,27% des voix, contre 44,74% pour Raila Odinga, le candidat de l’opposition.
L’élection présidentielle kényane devait être reprise le 17 octobre mais elle a été reportée au 26 du même mois.
BBC