La synergie des syndicats de l’Education signataires du 15 octobre 2016 continue son combat pour l’application de l’article 39 après des séries de grève en vue d’amener les autorités à concrétiser cet accord. Cependant, le Groupement des femmes éducatrices du Mali, dirigé par Bagayoko Aïda Kanté invite les syndicats à formaliser leurs instruments de lutte, afin d’assurer leur protection et celle des militants au vu des attaques à leur encontre sur les réseaux sociaux.
Dans une correspondance, en date du 7 septembre 2020, le Groupement des femmes éducatrices du Mali, tout en restant solidaire avec leurs camarades, a exprimé son inquiétude quant au mouvement de grève mis en exergue par les syndicats, contesté ce dernier temps par des individus sur les réseaux sociaux dont le dernier en date est l’attaque verbale de l’artiste Bassékou Kouyaté.
Aussi, le Groupement des femmes éducatrices du Mali invite les syndicats à assurer leur protection et celle des autres militants, en cas d’action des parents d’élèves contre la synergie, dont les principes juridiques leur attribuent ce droit de requêtes auprès des tribunaux. Au vu du droit conféré par les mêmes principes juridiques aux parents d’élèves d’exprimer leur désaveu en requête auprès des cours et tribunaux, et les qualités statutaires des mamans, soucieuses des éventuelles retombées juridiques.
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