À peine la date du référendum constitutionnel a-t-elle annoncée par le gouvernement de transition, que des associations se sont liguées pour contester le principe de laïcité inscrit dans le projet de Loi fondamentale.
La transition débouchant sur l’organisation d’élections et le transfert du pouvoir aux civils par les militaires au pouvoir serait-elle sur des rails au Mali ? Vendredi 5 mai, les autorités ont annoncé un référendum constitutionnel pour le 18 juin, écrit Le Journal du Mali. Initialement annoncé pour le 19 mars, et annulé en raison du retard pris dans la convocation du corps électoral, il constitue une des étapes vers les élections, prévues pour février 2024.
“Enfin une bonne nouvelle pour la restauration prochaine de la démocratie au Mali ! se réjouit le quotidien burkinabè L’Observateur paalga. Primo, le régime d’état d’exception qui prévaut actuellement au Mali ne sera pas imposé aux populations ad vitam aeternam. […] Secundo, l’organisation de ce vote référendaire, s’il est possible sur toute l’étendue du territoire malien, sera un signal fort d’une amélioration significative de la situation sécuritaire du pays.”….courrierinternational.com