Un mois après l’organisation de la finale de la coupe PMU du Bras de Fer Sportif du Mali (FMBFS), qui a vu le sacre de Yacouba Konté dit « Kolokounbaba » , la Fédération Malienne de Bras de Fer Sportif du Mali (FMBFS) a organisé, le dimanche 26 septembre 2021, au Pavillon des Sports du Stade Modibo Kéita, les matchs éliminatoires du tournoi Ower Top de la fédération. Ce tournoi a comme parrain El Hadji Mohamed Sacko, président du mouvement Jamana Kanu.
Les fans du bras de fer ou des « gros bras », ont répondu massivement à l’appel de leur fédération. La salle du Pavillon des sports du Stade Modibo Kéita a été pleine à craquer. Après plusieurs heures de combat entre la vingtaine de participants dans le fair-play le plus total, huit joueurs ont été retenus pour la grande finale prévue en fin octobre prochain, selon la commission d’organisation dirigée par le secrétaire générale de la FMBFS, Bekaye Diawara. Il s’agit entre autres de Adama Camara, Hèrè, Dougoudiè, Aldiouma ; Carter ; le Roi Junior ; Janvier Abouta, Kassim Dafara.
Le parrain de ce tournoi Ower Top, El Hadji Mohamed Sacko, s’est dit ému d’abord d’être choisi par les organisateurs de la compétition pour être le parrain. «Cela est un honneur pour moi », dit-il. Secundo, El Hadji Mohamed Sacko a salué l’esprit de la bonne organisation de cette première tranche de la compétition. Enfin, il s’est réjoui de la maturité des compétiteurs, de leur esprit de fair-play. «Je suis très satisfait du comportement des joueurs de ce soir. Malgré les tensions, les pressions, chacun est resté maître de soi-même. Aucun problème n’a émaillé le bon déroulement de la compétition. C’était des gestes de fair-play, d’encouragement des uns et des autres à leur descente du podium. Félicitation aux jeunes et bravo à la FMBFS pour la réussite du tournoi. Nous serons là pour la finale et nous espérons que le même esprit va prévaloir. Notre accompagnement ne fera aucun défaut pour accompagner la FMBFS pour la promotion du Bras de Fer au Mali », a déclaré avec joie, le parrain Sacko.
Hadama B. Fofana
Source: Le républicain