Face à la montée des tensions dans le Golfe, les orientations des pays du Maghreb peuvent être difficiles à décrypter. Volontaire ? À l’acmé des tensions entre Doha et Ryad en 2018, Jeune Afrique relevait déjà un « ni-ni des pays maghrébins ».
Le Maroc, qui a rompu ses relations diplomatiques avec l’Iran, accusé de soutenir le Front Polisario, semble le plus proche de la position saoudo-émirienne, en dépit de la période de froid avec les Ben Salman, symbolisée par son vote contre la candidature marocaine à l’organisation de la Coupe du monde 2026.
JA