Depuis le baroud d’honneur de Laurent Gbagbo en 2011, aucun État membre de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) n’avait fait faux bond face aux attentes légitimes et apolitiques des investisseurs.
D’où les interrogations soulevées suite au défaut enregistré par le Mali le 31 janvier sur le marché des titres publics géré par l’Agence UMOA-Titres. Certes, il ne s’agit pas d’un défaut à proprement parler ainsi que le rappelle le ministre malien des Finances, dans une note adressée aux investisseurs. Ce warning tombe suite à l’échéance et non, comme cela devait être le cas, avant celle-ci. Voici les explications maliennes: «Le
Source: financialafrik