Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, Mme Assétou Founè Samaké Migan, a ouvert, le 14 juillet 2018, dans la salle Afro basketball du 26 mars de Yirimadio, les activités sportives, culturelles de la première semaine nationale des jeux universitaires du Mali. Etaient présents d’autres collègues ministres ; Issa Ouedrago, directeur des études et de la planification du Centre national des œuvres universitaires (Cenou) du Burkina Faso, du directeur général du Cenou du Mali, du comité Aeem dirigé par son premier responsable, Niangaly.
Prennent part à cette première édition le Cenou du Burkina Faso, les structures d’enseignement supérieur du Mali : USSGB, USJPB, USTTB, ULSHB, U-Ségou, IPR-IFRA, Ensup, ENFSS, ENETP, ENI-ABT, CERFITEX de Ségou, AEPES, INFTS, INJS, ESJSC. De plus, il y aura des activités culturelles comme par les slameurs, humoristes, etc. Durant une semaine (14 au 22 juillet 2018), les différentes facultés, instituts, grandes écoles, à travers leurs compétiteurs, se mesurerons à d’autres dans les disciplines comme le football, le basketball, le Taekwondo, l’athlétisme, la natation, le volleyball, le handball, etc. l
Mme Samaké Assétou Fiounè Migan s’est réjouit de la tenue de ces jeux à l’intention des étudiants, futurs responsables de demain. Mais avant, elle a salué la présence de la forte délégation venue du Burkina Faso pour prendre part à ces premiers jeux universitaires du Mali. Pour elle, il est bon de joindre l’utile à l’agréable.
En plus de l’apprentissage qui est la première force de l’homme, dit-elle, il est important de créer des activités récréatives permettant aux étudiants de se mesurer les uns aux autres. Et il n’y a pas mieux, ajoute le ministre, que le sport dans lequel on apprend aussi et se distinguer. Ces jeux, poursuit, Mme le ministre, sont aussi un moment de retrouvailles, de discussions, de découverte pour les uns et les autres. Elle a promis la poursuite des jeux universitaires qui peut aussi un lieu de détection de talents pour nos équipes nationales afin de défendre les couleurs du pays.
Hadama B. Fofana
Source: Le Républicain