A Yirimadjô Sud-Est l’operateur foncier Moctar Ndiaye demolis plus de 50 maisons en chantiers en 2018 hors le titre qu’il dispose est créé sur Diatoula et non la commune VI.Les paisibles citoyens ont eu leurs parcelles par la mairie de Yirimadjô à l’origine des héritages de la famille ‘’dougoutigui Diarra’’ de Yirimadjô.Situé entre ‘’Tjin tjin koulou et Douga koulou’’ l’espace faisait une superficie de 128 hectares et fait obligatoirement partir de la commune VI. Après le morcellement les gens se sont débrouillés de payer des parcelles et commencer à construire par leurs moyens dont certains sont à 4 millions de francs CFA et d’autres a plus de 10 millions de francs CFA injecté déjà .
Un bon matin les propriétaires des 53 parcelles ont reçu l’information qu’une opération de démolition est en cours dans leur secteur et séance tenante la démolition est en cours depuis quelques heures .Les victimes se sont mis ensemble ils sont au nombre de 53 car Mouctar Ndiaye qui se dit agent technique de commerce domicilié à Faladjè leur a fait comprendre qu’il détient un titre foncier mais malheureusement qui ne relève pas dudit secteur d’opération. Nommé un président qui est un colonel major de l’armée a la retraite .Ils ont pris un avocat Alors rapidement les victimes se sont mis ensemble en association puis ils ont pris un avocat du nom de Tièssolo Konaré et ce dernier avant tout acte a demandé d’abord un transport judiciaire sur le site de démolition et cela a nécessité la convocation des chefs de quartier de Niamana, Diatoula, ntabakoro, Sirakoro et de Yirimadjô et ils sont tous tombés d’accord sur ce que la situation géographique de l’espace de litige est bel et bien Yirimadjô donc ça relève de la commune VI et non de Kati car Diatoula relève de Kati.
Du tribunal de la commune VI le dossier a été transféré au camp I les enquêtes approfondîtes et les constats ont été faits mais cela a coïncidé avec la mutation des juges donc la situation a un peu trainé .Le collectif des victime a même été encouragé par la mairie de Yirimadjô.Un samedi au cour de leur rencontre de compte rendu le président de la commission des victimes de démolition ,un colonel major de l’armée a été arrêté par des hommes qui sont venus abord d’un pickup et ils ont présenté le mandat qui devait conduire le colonel-major mais le comble est que ce mandat était émanent du tribunal de la commune V hors toutes les deux parties sont de la commune VI .Parmi les personnes à conduire il y avait Bourama Diarra ,Adama Diaby qui avaient répondus présents .À leur arrivée d’un seul coup ils ont été conduit à la maison centrale d’arrêt de Bamako pour :1.disposition de bien d’autrui et 2.menace de mort,…et Moctar Ndiaye était le plaignant hors ceux-ci ne l’avaient vu de leurs yeux.
Au même moment il a profité de faire la clôture du secteur qu’il a illégalement démoli malgré les interventions de mairie de la commune VI, du domaine et du commissariat du 13ème qui a saisi leur matériel de travail.
Le collectif des victimes de cette situation injuste veut juste savoir s’il ya vraiment une justice dans ce pays puisque la cour d’appel avait saisi le juge Souleymane Samaké en partance pour Niono pour le faire comprendre que cette situation ne relève de sa compétence mais il a réattribué le dossier au cabinet du juge Salif Zoumana Traoré juge d’instruction premier cabinet malgré tout.
Nous interpelons le ministre Malick Coulibaly pour assumer sa responsabilité dans la gestion de cet abus de pouvoir et faux usage de faux de Moctar Ndiaye à l’endroit de ses pères de familles.
Source: Malijet