Ni Bamako ni Tombouctou ne veulent rester en marge des marches patriotiques pour soutenir les compatriotes de Gao qui ont été victimes des violences mortelles, ne serait-ce que pour réclamer leur droit et décrier une décision aperçue par la majorité du peuple malien comme « un pas vers la partition du pays ».
L’occasion est donc propice pour les jeunes des deux villes de remuer les nombreuses doléances qui, depuis toujours sont en attente. Il s’agit notamment les grandes promesses jamais tenues par l’Etat.
La rédaction