La famille du parti de la Quenouille vient d’être élargie avec l’adhésion de Sidiki Almamy Coulibaly, un jeune leader dans la sphère politique nationale. La cérémonie modeste d’adhésion a eu lieu, le dimanche 21 janvier 2018, au Grand Hôtel de Bamako en présence du 2ème Vice-président de la CODEM (Convergence pour le développement du Mali), Mahamoud Konaké et de plusieurs cadres du parti.
Convaincus de la stabilité et du leadership du parti de la CODEM sur l’échiquier politique malienne en tant qu’une formation politique de la seconde génération, Sidiki Almamy Coulibaly et ses partisans souhaitent évoluer avec la quatrième force politique nationale pour ratisser large en allant vers des regroupements politiques.
« Je ne suis en conflit avec personne mais j’ai démissionné de mon parti pour des raisons personnelles et je m’étais retiré de la scène politique pendant un moment compte tenu de la situation politique du pays. J’ai battu campagne par le passé aux côtés de feu Vice-président de la CODEM, Mamadou Diakité dans la commune de Kéniéba. Mais ce dernier est décédé entre temps, avant que je ne rentre dans les instances politiques du parti. Après ma démission, le président de la CODEM, Housseyni Amion Guindo m’a démarché pour rallier la CODEM. Alors, après une réflexion, je trouve que la situation politique n’a pas besoin de toutes ces formations politiques actuellement. Donc, je partage la même vision que la CODEM que je considère comme un parti de la deuxième génération. Depuis sa création, la CODEM à travers le leadership de son président, engrange des résultats et garde sa stabilité sur l’échiquier politique nationale.»
C’est en ces termes que l’ex Vice-président d’une autre formation politique de la place, Sidiki Almamy Coulibaly a justifié son adhésion au parti de la quenouille. Pour sa part, le Vice-président de la CODEM, Mahamoud Konaké a souhaité la bienvenue au nouveau adhérant et il a profité par la même occasion de démontrer la disponibilité de son parti pour recevoir tous ceux qui partage sa vision politique.
Moussa Dagnoko
Source: Le Républicain