Selon AFP deux personnes ont subi des transplantations de moelle osseuse pour traiter des cancers du sang en recevant des cellules souches de donneurs ayant une mutation génétique rare qui empêche le VIH de s’installer.
Dix ans après le premier cas confirmé d’un patient souffrant du VIH qui s’était remis de cette maladie mortelle, un deuxième cas, connu comme «le patient de Londres», n’a pas montré de signe d’être atteint du virus depuis près de 19 mois, ont rapporté les chercheurs dans le journal Nature.
Source: Le Pays