Nul ne doute qu’à l’approche de l’élection présidentielle, le clan IBK en perdition et peinant à motiver et à convaincre les Maliens de l’extérieur, comme ceux de l’intérieur d’ailleurs, se livre comme à son habitude à une utilisation abusive de l’argent public pour séduire les électeurs.
Une largesse sur le dos du contribuable de la part du « fiston national » envers la Section RPM de France pour tenter d’acheter des avec l’argent public, voilà ce qui est actuellement décrié au niveau de la diaspora.
Nous savons que cette mission illégale, contraire à toutes les règles de l’expression démocratique, sera très difficile et compliquée pour la Section RPM de France qui traverse une crise interne très profonde de leadership. En fait, le très contesté secrétaire général, qui parle tout sauf la langue de Molière, est connu par son incompétence et son manque de stratégie. A cela, s’ajoute une remise en cause provoquée par la mainmise de la plateforme An Ka Ben sur ladite section, en plus des défections en cascade, au-delà même de l’impopularité du président IBK en France.
Déjà, pendant le mois de ramadan passé, on se rappelle que plusieurs responsables et militants de la Section ayant une moralité très douteuse ont été gentiment remerciés avec leur « Sounakari » par les résidents des foyers qui avaient le sentiment d’être l’objet de marchandage et ont qualifié ce geste de trop électoraliste, voire indécent.
Espérons que le patriotisme et la conscience civique des électeurs et électrices prendront le dessus face à ces tentatives de corruption émanant des proches du régime IBK qui chercheront avec tous les moyens à favoriser la réélection de leur mentor.
Malgré l’utilisation de l’argent public pour des fins électoralistes, nous souhaitons que les citoyens ne tombent pas dans ce jeu pour permettre ainsi une élection libre, transparente et apaisée pour l’intérêt de notre pays.
Correspondance particulière
Source: Le Pays