Les trois pays africains siégeant en qualité de membres non permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU ont, au cours d’une réunion tenue, le lundi 16 mai dernier, tiré la sonnette d’alarme sur la détérioration de la crise sécuritaire au Sahel.
Ainsi, la Côte d’Ivoire, la Guinée Equatoriale et l’Afrique du Sud ont appelé à des mesures plus concrètes pour stopper la » déferlante terroriste » à laquelle on assiste au Mali, au Burkina Faso et au Niger.
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Source: l’Indépendant