En réponse à l’offre de dialogue du Président Ibrahim Boubacar Kéita, les chefs terroristes du Groupe de Soutien à l’Islam et aux Musul- mans (GSIM) ont publié, le dimanche 8 mars, une déclaration intitulée “en appel au dia- logue.” C’est à travers le bras médiatique de propagande “Az Zallaqa” que les terroristes ont répondu à la demande de dialogue qui leur a été adressée par les plus hautes autorités du pays avec à leur tête le Président IBK. Même s’ils se disent disposés pour ce dialogue, ils ont posé comme condition le « départ des troupes étrangères, notamment françaises ».
«Qu’ils sont fiers des «manifestations de leurs frères Maliens» semble d’abord une moquerie d’autant plus que les frères ne se tuent pas. Les chefs djihadistes veulent faire croire à l’opinion que les manifestations contre la présence des forces étrangères est bonne…»
S’il était évident que les terroristes devraient poser une condition en cas d’un éventuel dialogue, c’est le timing choisi par ceux-ci pour répondre, qui suscite l’interrogation aujourd’hui.
qu’annoncé par le pre- mier citoyen du Mali selon les recommandations du Dialogue National Inclusif (DNI), Iyad Ag Ghaly et ama- dou Koufa se sont prononcés à travers un communiqué. Dans ce communiqué, ils posent une condition, celle du départ des «Forces armées françaises et leurs alliés de l’Union Européenne et des Nations Unies». Une demande du moins difficile au regard du contexte sécuritaire actuel du pays.
La demande du Président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita, pour dialoguer avec Iyad Ag Ghaly et amadou Koufa vient d’avoir un début de réponse, ce dimanche, 8 mars 2020. Dans un communiqué, les chefs dji- hadistes ont répondu à la de- mande d’IBK qui a annoncé…
Source Nouvel Horizon