Depuis quelques mois, le Parti pour la Restauration des Valeurs du Mali (PRVM FASOKO), piloté par le candidat recalé au premier tour de la présidentielle du 29 juillet passé, Mamadou Oumar SIDIBE, multiplie les actions pour renforcer ses structures dédiées aux jeunes et aux femmes dans toutes les régions du Mali en. Ce, en vue d’affronter les échéances électorales à venir.
éterminé à occuper une bonne place sur l’échiquier politique national, le parti PRVM FASOKO se mobilise sur tous les fronts. De l’implantation de ses structures de base à travers tout le territoire national en passant par les sessions de renforcement des capacités des militants, aux rencontres de collaboration sur tous les dossiers brûlants de la Nation, le PRVM FASOKO se fait remarquer sur la scène politique.
Au chapitre de l’implantation du parti, une délégation du PRVM FASOKO s’est rendue récemment dans le cercle de Bafoulabé pour mettre en place le Mouvement des jeunes et des femmes renforcé par l’adhésion de nouveaux militants venus du RPM, de l’ADEMA et du parti Yéléma. Le même exercice d’implantation du parti s’est poursuivi dans les cercles de Kati, Kita, Ségou, Sikasso, Djénné, Kayes, Tombouctou.
Cette démarche des premiers responsables du parti a contribué à consolider les liens entre la base et le sommet du parti. En plus des actions de restructuration, le parti PRVM FASOKO s’active pour renforcer les capacités des militants de ses différentes sections. Ces formations sur la gestion du parti au niveau local sont destinées aux femmes et aux jeunes. L’objectif visé étant la préparation du Congrès National des Jeunes et celui des Femmes qui se tiendra à la fin du mois d’avril prochain. Ce, afin de permettre au parti de rebondir efficacement lors des échéances électorales à venir.
Pour décrisper le climat politique, le président Mamadou Oumar Sidibé a rencontré successivement les associations et partis politiques notamment le Club 66, la Coalition Kalfa Sanogo, le RpDM, le PACP. Une autre rencontre est prévue, le vendredi prochain, avec les FARE.
Source: l’Indépendant