La pollution atmosphérique, l’insalubrité, les changements climatiques, la déforestation, tous sont dus à l’activité humaine, pour son développement. À force de couper des arbres pour le bois de chauffe ou la construction de maison, tout le pays connait une forte déforestation. Des forêts entières sont dévastées. Résultats ; les animaux fuient et le climat connait des changements perpétuels.
Avec l’industrialisation, la création de grandes villes, un besoin d’électrification s’est vite imposé. Ce qui est à l’origine des pollutions lumineuses. A la tombée de la nuit, d’innombrables sources de lumières artificielles prennent le relais du soleil. Ainsi, la faune, comme la flore, est exposé à la lumière 24/24. Toutes ces formes de pollution sont l’apanage de les continents.
En effet avec cette forme de pollution au Mali « la couverture électrique au Mali ou en Afrique de l’Ouest est inférieure à 30%. Particulièrement au Mali où il n’y a que les grandes villes qui enregistrent des taux élevés d’électrification. La faune est déjà habituée. Donc, il y a peu d’impacts. La faune sauvage n’est point impactée par la lumière ? » nous explique, DIALLO, environnementaliste.
Lorsqu’on veut faire fuir un animal, il suffit de lui pointer une forte lumière. Il faut comprendre que ces faibles taux d’électrification jouent en faveur de notre continent. Notre environnement n’enregistre pas de désastre dû à cette forme de dégradation du cadre de vie des populations et des écosystèmes qu’il regroupe. Les sources lumineuses sont entre autres les lumières des grandes agglomérations urbaines des pays à forte industrialisation ou les feux de forêts. Les conséquences environnementales sont d’ordre végétal et animal. La dégénération précoce de la végétation.
Assitan Siga FADIGA