L’institution défendue par le SAM et le SYLIMA
L’interpellation, le jeudi 26 août, de l’ancien Premier ministre Soumeylou Boubèye Maiga et de l’ex-ministre de l’Economie et des Finances, Mme Bouaré Fily Sissoko, suscite de très vives réactions au sein de la famille judiciaire. Le président de l’AMPP, Cheick Mohamed Chérif Koné évoque » une instrumentalisation de la justice « . Ce que réfutent les syndicats de la magistrature SYLIMA et SAM, estimant qu « ‘une justice aux ordres est révolue, la Cour suprême n’ayant fait qu’une saine et judicieuse application de la Loi dans le cas d’espèce… « .
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Source : l’Indépendant