Le Parti pour l’Action Civique et la Démocratie (PACP) et ses partisans ont réservé un accueil chaleureux à Niankoro Yeah Samaké, le dimanche 21 janvier à l’aéroport international Modibo Keita de Bamako. Ce dernier est le président d’honneur du PACP et il est en fin de missions comme ambassadeur du Mali en Inde.
Depuis midi, les militants du Parti PACP, les sympathisants, les amis et les clubs de soutien s’étaient donné rendez-vous à l’aéroport international Modibo Keita de Bamako. Vers treize heures, les participants ont formé une file indienne munie des banderoles et des pancartes. Sur lesquelles, ils ont écrit « I BISSIMILA son excellence Nainkoro Yeah Samaké », « Merci pour l’exemption du visa entre le Mali et l’Indonésie » ou encore « Good job Niankoro Yeah Samaké président d’honneur du PACP ». La foule répétait à chaque fois « merci pour tous les travaux effectués pour l’honneur du Mali ». Selon Oumar Keita, président national du PACP, aujourd’hui est un grand jour pour le PACP, son excellent Yeah Samaké doit revenir de l’Inde et nous sommes là pour l’accueillir.
Un acte de reconnaissance
Ses partisans prônent qu’au cours de sa mission le bilan est positif. « Il était mis en mission par le président de la République et nous lui remercions pour la confiance place au PACP », déclare le président national du parti. Ajouta-t-il, malgré tout ce que les gens disent à côté, le bilan est plus que positif, aujourd’hui, il a plus de missions indiennes au Mali.
Le moment où la foule a aperçu Niankoro Yeah Samaké, certains répétaient « Aujourd’hui est un jour honorable, il nous manquait, nous étions même pressés qu’il rentre ». Une fois arrivée en face de la masse, c’était des cris de joie et des applaudissements qui raisonnaient à l’aéroport international Modibo Keita.
Pour les jours à venir, les perspectives du PACP ne sont rien d’autres que le développement du Mali. « Désormais l’ex ambassadeur plénipotentiaire rentre au Mali pour se mettre à la disposition de son parti pour la recherche de solutions durables aux défis majeurs qui s’imposent au peuple malien », a-t-il conclu Oumar Keita.
Journal du mali