Suivez-nous sur Facebook pour ne rien rater de l'actualité malienne

Offense du Mali: la toile s’indigne du silence de la classe politique

Depuis une semaine, le Mali est sous les feux des critiques et des invectives de certaines autorités françaises, notamment les ministres Le Drian et Parly qui ont qualifié les autorités de la ‘’junte militaire illégitime et irresponsable’’. Cette tension s’est exacerbée ces dernières 78 heures avec l’expulsion de l’Ambassadeur français au Mali. Malgré cette évolution très inquiétante de relations diplomatiques entre l’ancienne puissance coloniale et notre pays, la classe politique malienne est restée muette comme une carpe. Un comportement qui n’a pas passé inaperçu sur la toile où les internautes ont le sentiment que nos hommes devenus illégitimes par la force des choses ont plus peur de la France que Dieu.

 

Ibrahim Fodié Touré : c’est après la transition que les politiciens connaîtront la vraie face des Maliens Inch’Allah.

Mamadou Kone : ne comptez même pas sur eux. Ils ont plus peur de la France que Dieu.

Alassane Diakite : la plupart de ces partis dont tu fais allusion comptait sur la France pour accéder au pouvoir. C’est pourquoi tu ne les verras pas parler.

Naby Ibrah : ce sont des parasites qui pensent autrement que les personnes battantes alors on s’en fou de leur soutien

Abdoulaye Sissoko : beaucoup de gens ne savent pas analyser car, ici nous voyons une union sacrée autour du pays. L’expulsion de l’ambassadeur français au Mali a créé une union sacrée des hommes politiques autour de leur patrie humiliée.  Une leçon est à donner aux hommes politiques maliens.

Maïga Alex : ils attendent la place confortable qui leur permettra d’avoir leurs langues à pouvoir communiquer. Sauf que nous, on s’en fout de leur soutien.

Les partis politiques ne sont plus que des coquilles vides au Mali, qui profite de leur nom pour impressionner et donner de la voix à ceux qui souhaitent du mal pour notre pays.

La sortie du Peuple, le 14 janvier, rend illégitimes les partis politiques au Mali et cela est une réalité, un constat amer pour la France aussi.

Les partis politiques moins sérieux ont voulu comme la France nous piétiner et nous contraindre à leur immaturité politique, pour simplement leur intérêt qu’ils mettent au-dessus d’un peuple méprisé par eux et leurs partenaires français. C’est vraiment pitoyable pour ces arnaqueurs.

Dayko Dembele : il ne pense qu’à leur marmite, mais laisse le peuple les surveillant et notre sanction sera brutale.

Soumaila Traore : alors même qu’en France on voit déjà les dirigeants politiques français monter au créneau pour soutenir le gouvernement français comme c’est le cas de Marine Le Pen et Jean Luc Mélenchon et bien d’autres, mais beaucoup de nos dirigeants politiques pensent jusqu’à présent que leur âme se trouve dans la main des dirigeants français, ils ont peur de soutenir.

Innocent Traore : tous les partis politiques français soutiennent aujourd’hui le pouvoir en place contre la décision de l’autorité malienne.

Moussa Fils Keita Sacko : bonsoir à toutes et tous ! Cela doit beaucoup servir comme leçon (surtout à apprendre) à nos quelques ennemis politiciens maliens qui ne cessent pas de se dresser contre ce vaillant gouvernement. Regardez-les, malgré leur divergence, comment ils font un front commun déjà. Sincèrement, nos quelques ennemis politiciens maliens doivent revoir leur comportement.

Adama Niantié Coulibaly : n’utilise pas le pluriel, cite le nom, ceux-là qui ne souhaitent pas la transition. Même si tout n’est pas rose pour le parti SADI, il soutient quand même la transition. Plus confusionnistes que vous, journalistes, on meurt. Que la transition se met au travail, que de passer par vous, des fabriqués politiques, pour brumer l’environnement politique du Pays.

Yacouba Sogore : ils n’ont pas intérêt, ils ont des choses à se reprocher pendant des décennies, ils ont fait beaucoup de gâchis. Si les autorités des transitions veulent toucher à tout ça alors la guerre est ouverte.

Abdoulaye Sissoko : il faut rectifier pour soutenir le pays et non la transition. Car l’avenir du pays est en jeux. Les politiciens français soutiennent le pays.

Doua Sissoko : ils pensent toujours qu’il faut être avec la France pour devenir président en oubliant que rien ne sera plus comme avant.

Bagna Dicko : qu’ils se taisent ou non, désormais la ligne directrice de la refondation est tracée, je serai surpris de voir comme la classe politique française, les nôtres soutenir leur autorité en place.

Drissa Sangare : celle (la classe politique) qui est disqualifiée commence à comprendre que sa prise de position contraire à l’opinion nationale ne fait que l’enfoncer. Seul un imprudent a donné son point de vue ce matin sur la radio satanique.

Source : Info-Matin

Suivez-nous sur Facebook pour ne rien rater de l'actualité malienne
Ecoutez les radios du Mali sur vos mobiles et tablettes
ORTM en direct Finance