Face au désordre grandissant dans la circulation à Bamako, exacerbée par les mototaxis, la Direction Nationale des Transports Terrestres, Fluviaux et Maritimes (DNTTFM) avait décidé depuis décembre 2020 de régulariser ce mode de transport dans la capitale afin de sécuriser les personnes et leurs biens. Si certains observateurs dénoncent le réveil tardif des autorités, d’autres au contraire indiquent les conséquences de cette décision sur l’emploi des jeunes.
La DNTTFM invitait à l’époque, tous les conducteurs à se conformer à la réglementation en vigueur en se dotant de la carte grise, de la plaque d’immatriculation, du permis de conduire, de l’assurance ainsi que de la vignette.
« En ce qui concerne les conducteurs des mototaxis, ils doivent être facilement identifiables : Moto avec plaque, conducteurs avec gilet et casque obligatoire. Ils doivent s’inscrire à la Mairie du District de Bamako et à la Compagnie de la Circulation Routière », précisait le communiqué.
Pour beaucoup d’observateurs, chaque période transitoire au Mali, est marquée par l’émergence d’un phénomène nouveau. C’était les Katakatani (tricycles), en 2012 et voilà les mototaxis en 2020. Entre législation et modernisation, (…)
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A.A.D – NOUVEL HORIZON