Dans le cadre de la campagne de sensibilisation couplée à la vaccination contre la maladie à coronavirus, la Direction régionale du Développement social et de l’économie solidaire (DRDS-ES) et la Direction régionale de la Santé (DRS) appuyées par l’UNICEF, ont effectué une journée de plaidoyer au Groupe Aminata Konaté (« Baramousso »). Cette activité a été menée, le lundi 22 août 2020 et présidée par Madame Sidibé Aminata Kalapo en service à la DRDS-ES et par le Dr. Bassirou Doumbia de la DRS. C’était en présence du Directeur général adjoint de l’entreprise « Baramousso », Ousmane Fall.
En intervenant ce jour face au personnel de l’entreprise « Baramousso », Madame Sidibé Aminata Kalapo, en service à la Direction régionale du Développement social et de l’économie solidaire (DRDS-ES), a tout d’abord rappelé la gravité de la maladie à coronavirus. Elle a expliqué au personnel de cette grande entreprise de renommée au Mali, la nécessité d’adopter un changement de comportement pour contrer la maladie. « Notre présence au sein de votre entreprise est non seulement de sensibiliser, mais aussi de pouvoir aider les populations à plus de changement. La covid est une maladie qui n’est pas méconnue et nous sommes chez vous pour faire le plaidoyer. Nous voulons aussi que vous soyez le relais pour diffuser le message de sensibilisation à vos autres collègues et entourage », a expliqué Madame Sidibé Aminata Kalapo. Dans sa communication, elle fera savoir à ses interlocuteurs : « Vous êtes permanemment en contact avec vos clients et il est mieux de vous faire vacciner. Cela pour vous protéger et protéger votre clientèle. La vaccination protège et elle est volontaire. Nous sommes chez vous avec l’équipe de la vaccination et nous disposons des vaccins Sinovac et Johson ».
Pour inciter davantage le personnel de « Baramousso » à adhérer à l’initiative de la vaccination, Dr. Bassirou Doumbia de la Direction régionale de la Santé (DRS), a affirmé le fait suivant : « La covid-19 est une maladie qui laisse des séquelles au niveau du poumon des gens qui arrivent à s’en sortir de cette maladie. Le souci de l’Etat, c’est de freiner ce mal, surtout à l’approche de la période de froid. Si nous arrivions à vacciner 80% de la population, ce serait idéal ».
Sidiki Dembélé
Source: Le Républicain