Coincées dans le respect des engagements pris devant le peuple malien et la Communauté Internationale, les plus hautes autorités de la Transition ne dorment que d’un œil. Elles sont acculées de toute part au Mali et ailleurs.
Si la Transition de 18 mois en cours dans notre pays doit prendre fin en mois de février 2022, les lignes ne bougent toujours pas. Lors du 3ème Sommet Extraordinaire de la conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernements de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sur la situation au Mali et en Guinée, le Président en exercice de la CEDEAO a informé la conférence de la notification officielle par les autorités de la Transition de leur incapacité à respecter l’échéance de transition devant prendre fin en février 2022. Face à cette situation, l’Autorité a déploré vivement l’absence de progrès dans la préparation des élections, y compris l’absence d’un calendrier détaillé des activités pour la conduite des élections aux dates convenues. Elle a tenu à réitérer la nécessité de respecter le calendrier de la Transition en ce qui concerne les élections prévues le 27 février 2022 et appeler les autorités de la Transition à agir en conséquence pour assurer un retour rapide à l’ordre constitutionnel.
Nombreuses sont les (…)
RETROUVEZ L’INTEGRALITE DE L’ARTICLE DANS LE « NOUVEL HORIZON » DU LUNDI 29 NOVEMBRE 2021
TOUGOUNA A. TRAORE
Source : NOUVEL HORIZON