L’attaque a été perpétrée, en début de soirée du jeudi 3 juin dernier, à Agharangabo, localité située à une soixantaine de kilomètres au nord-est de la ville de Ménaka. Au moins onze civils de la communauté Ibogholitane – alliée du GATIA – ont été sauvagement exécutés par des individus à motos se réclamant de l’Etat Islamique au Grand Sahara (EIGS). Avant de se retirer, ils ont aussi procédé à la destruction de plusieurs biens.
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Source : l’Indépendant