Le gardien de but du Stade Malien de Bamako et des Aigles du Mali, Soumaïla Diakité vient de convoler en justes noces avec Mlle Fatoumata Traoré. Le mariage civil a été célébré, le samedi 7 juin dernier, au Centre d’état civil secondaire de Magnambougou en présence d’une foule nombreuse. Parmi les invités de marque, on notait en premier lieu, le président du Stade Malien de Bamako, Boukary Sidibé dit Kolon (parrain de Soumaïla en lieu et place de l’ancien Président de la République, Amadou Toumani Touré empêché) accompagné pour la circonstance d’autres responsables du club dont le Manager général, Cheick Diallo et Kassoum Coulibaly dit Yambox, 3e vice-président de Malifoot. Les coéquipiers du gardien de but des Aigles et du Stade étaient aussi au rendez-vous à l’image de Adama Tamboura, Abdou Traoré, Mahamadoun N’Diaye, Cheick Fantamady Diarra… Ils étaient tous vêtus en uniforme de Bazin tout blanc comme le nouveau marié.
C’est aux environs de 17 heures que le cortège du couple est arrivé à la mairie dans une Range Rover blanche. Il a été accueilli par une foule de grand jour. C’est l’officier d’état civil, Mamadou Coulibaly qui a eu l’insigne honneur de célébrer ce mariage. Après la lecture de l’extrait du code du mariage, Soumaïla Diakité a signé le régime polygamique avec sa désormais dulcinée. Après, ce fut la séance de photos pour immortaliser cet événement exceptionnel dans la vie de Soumaïla Diakité.
Ce fut un moment de joie pour les nouveaux mariés. Le président du Stade Malien de Bamako était tout simplement la vedette du jour. Il était très sollicité par les griottes et les griots.
Dans la soirée, les amis, parents et sympathisants du Stade Malien de Bamako se sont donné rendez-vous au Centre International de Conférences de Bamako pour un dîner, marqué par la prestation des artistes comme Mah Kouyaté N°1.
Le capitaine des Aigles du Mali, Seydou Kéïta, qui vient de signer un contrat d’un an avec l’AS Roma, a quitté directement l’aéroport international Bamako-Sénou jusqu’au CICB pour être de la fête avec les siens. C’était vraiment la grande fête !
A.B. HAIDARA
SOURCE: L’Indépendant