Le CNT accompagne la cadence de la synergie sahélienne contre le terrorisme. Entré dans une session budgétaire essentiellement consacrée à la loi de finances, l’organe législatif de transition n’est pas moins sollicité pour d’autres procédures législatives. Au nombre des urgences figure notamment l’accord de mutualisation des moyens défensifs du Mali, du Burkina et du Niger, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, entre d’autres.
L’alliance AES a ainsi droit au chapitre pendant la plénière parlementaire qui s’ouvre aujourd’hui. Après la signature du texte y relatif, il revient donc aux législateurs de l’adouber par ratification, en vertu des dispositions constitutionnelles en vigueur sur les accords internationaux. L’accord pour la guerre prend du coup de l’ascendant légal sur l’accord pour la paix auquel il est souvent reproché la tare congénitale de n’être jamais passé par la censure de l’organe législatif.
25 000 demandes de stage sur la table de l’APEJ
En dépit de la disette et de la crise qui bat son plein, depuis quelques années, l’Agence pour la promotion de l’emploi – jeune n’entend point déroger à la tradition. Vocation oblige, elle est au rendez-vous des attentes annuelles avec l’ouverture comme d’habitude de souscriptions aux opportunités d’intégration de la vie active par des stages. Pour quelques milliers d’offres en jeu, apprend-on de bonne source, la ruée est sans commune mesure et se chiffre à pas moins de 25 000 demandes enregistrées aux niveaux des différentes structures régionales de l’Apej. Toutes proportions gardées, les sollicitations sont plus fortes dans les régions septentrionales où les ONG ont plié bagages laissant derrière elles une jeunesse en proie aux tentations diverses. Les nombreux demandeurs seront retenus selon les critères de sélection prédéfinis.
Le Témoin