La transition est interpellée à jouer pleinement son rôle dans la crise qui secoue l’école malienne depuis 1994. L’arsenal de guerre qu’on a vu sur les réseaux sociaux n’augure rien de bon pour une école performante et apaisée au Mali. L’université du Mali s’est muée en un centre de malfrats et du coup l’Association des élèves et étudiants du Mali (AEEM) est devenue une «milice».
Le bon étudiant n’est ni violent, ni brutal, ni querelleur. Il sait que les paroles peuvent faire du mal et que les coups et blessures peuvent tuer. Alors, il est temps que l’État dissout ce «machin» qu’est l’AEEM. La source de toute cette violence, c’est le gouvernement qui a fait de cette association le «bébé gâté de la République».
L’AEEM a un siège, un véhicule de liaison alors que certaines structures de l’Etat manquent de tout, gère le parking universitaire. Elle impose son quota d’admission aux examens. Après un constat désastreux des lieux et un bilan négatif de l’AEEM, il y a lieu de dissoudre cette «milice» d’étudiants armés.
Commune I: Madou Kané paie un clandestin pour brancher son fil électrique sur mon balcon
Pour un branchement de fil électrique non-autorisé, l’agent de police Madou Kané a fait couper leur fil électrique souterrain par un clandestin et le faire passer sur le balcon de sa voisine. Cette installation électrique est très dangereuse pour sa voisine et les risques sont énormément élevés. Toutes les démarches à l’amiable, humaines entreprises par sa voisine pour un dénouement consensuel ont montré leurs limites.
Madou Kané et son frère Bassidy Kané garde à la retraite, tous deux (02) porteurs d’uniforme refusent de débrancher leur fil électrique sur mon balcon, bénéficiant du soutien de certains agents de la Société Énergie du Mali (EDM-SA). Alors qu’ils ont les moyens de payer un poteau. Certains porteurs d’uniforme exercent des abus de pouvoir sur le voisinage et l’État ne fait rien pour les sanctionner. (Ci-dessus voir photo).
NOPEL: vous connaissez (Nouveau procédé électoral) ? C’est la nouvelle invention du jeune chercheur Alpha Sidiki Cissé
Il a mis au point un dispositif de vote qui répond justement à ces deux exigences: un dispositif de logistique et de paperasse. Ce nouveau procédé n’utilise pas de bulletins pour les opérations de vote et de dépouillement, et de ce fait, élimine le gâchis énorme de papier et réduit considérablement les coûts de fonctionnement des bureaux de vote.
Comparé au système de vote actuel, le NOPEL allie à la fois simplicité, rapidité, fiabilité et économie. Le dispositif du NOPEL comprend : un mini-isoloir avec une roue, cette dernière comportant un bulletin à sceau de chaque candidat; le tout posé sur une comportant une façade transparente pour connaitre automatiquement le nombre de votants; l’urne a en son sein une boite dans laquelle se trouvent une bande de tissu et une barre transversale avec cadenas pour la sécurité.
Le procédé du vote consiste à imprimer le nom et le logo du candidat choisi par le votant sur un casier de la bande de tissu qu’on fait défiler après chaque vote; la bande sera utilisée à la clôture du vote pour le décompte des voix par candidat. Le NOPEL a obtenu le brevet d’invention N°12710 délivré par l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle le 24 mars 2005.
L’Inter de Bamako