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Kabako Une femme de 40 ans viole un garçon de 14 ans

Le scandale continue de faire des vagues dans le quartier de Baye Laye. Une petite bourgade située à Guèdiawaye. Maïmouna Barry, âgé de 40 ans, vient d’être condamnée pour détournement et viol sur un adolescent de 14 ans. La victime est amie à son fils aîné. La mise en cause est une dame mariée à un modou- modou vivant en Espagne. Elle a été surprise en flagrant délit d’adultère par sa bonne. Pour s’en sortir, elle avait simulé un viol sur elle-même. Malheureusement, la vérité finira par éclater.

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(image utilisée juste a titre d`illustration)

 

Qu’est qui a bien pu pousser la dame Maïmouna Barry à céder à la tentation, et de manière aussi vile ? Pourtant, son brave mari s’est toujours démené comme un beau diable afin de l’entretenir. Afin de lui procurer toute la sérénité et le calme que requiert un ménage, il avait consenti à louer pour elle une villa très chère payée. Les faits qui ont valu à la dame Maïmouna Barry d’être condamnée par le tribunal départemental de Pikine pour les délits d’attentat à la pudeur et viol, ont eu lieu le mercredi 21 juin dernier. La jeune victime de l’infortunée dame s’appelle Moustapha Cissé. Il est tout juste âgé de 14 ans. Quant Maïmouna fut surprise en flagrant délit d’adultère avec le jeune garçon, elle se mit à pousser des hurlements stridents et à raconter qu’elle venait d’être victime d’un viol. Le ridicule ne la retint même pas d’aller déposer une plainte à la police de Guèdiawaye.

Le jeune garçon sera arrêté sans qu’on sache si les flics avaient pris la peine d’enquêter sérieusement sur une affaire qui a priori, semble toute bénigne. En fait, pour qu’un mineur de 14 ans ose s’en prendre aux dessous de robe d’une femme de l’âge de sa mère, il faut vraiment qu’il ait de précoces prédispositions. Au bout de deux semaines, l’adolescent sera libéré, et ses parents qui étaient informés des vrais mobiles de l’affaire, décidèrent de porter plainte. Le dossier est aussi réouvert, et grâce à la déposition détaillée de l’adolescent, les flics se rendront compte qu’ils avaient été induits en erreur.« Après chaque relation sexuelle, Maïmouna Barry m’achetait des cartes de crédit, de la viande grillée, de la boisson, et m’offrait divers cadeaux en guise de récompense », confia l’adolescent aux flics. Et, il ne se retint pas de conter à ses interlocuteurs les moindres détails de la chambre de la mise en cause. Devant l’évidence et la mauvaise foi de Maïmouna Barry, le tribunal l’a condamnée à une peine assortie d’un sursis en y adjoignant la somme de 500.000 francs à payer, en guise de dédommagement à sa victime. Ce dernier a refusé de toucher à ladite somme.

Quant au mari de l’infortunée dame, avisé depuis l’Espagne, où il réside, il s’est refusé à tout commentaire, préférant sans nul doute attendre son retour au pays afin de se préparer. Maïmouna Barry qui n’a pas pris la peine de déménager, est devenue la risée du quartier de Baye Laye.

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