La crise sécuritaire a facilité la vente et la circulation des armes à feu dans le pays. Un récent rapport des Nations Unies paru le 10 juin dernier, fait état de vente d’armes de type AK à 450 000 FCFA. Ce commerce illégal est dénoncé dans les régions de Tombouctou, Gao et Ménaka au nord du pays. Selon des témoignages, cette vente s’est d’ailleurs plus accentuée avec le processus DDR, désarmement, démobilisation et réinsertion. Car pour en bénéficier, il faut d’abord déposer une arme auprès de la commission.
Studio Tamani