Pendant que les régions de Tombouctou et de Gao sont libérées, la région de Kidal échappe toujours au contrôle du Mali. Une situation que les Maliens ont du mal à comprendre. Et du coup, des interrogations fusent de partout. Si au début de la reconquête, on nous faisait croire que c’est la France qui a demandé à l’armée de ne pas rentrer à Kidal à cause de ses otages, finalement, ce sont des officiers de la Dirpa qui parlent de problème de moyens et de logistiques.
Mais, le hic est que ce sont des forces françaises et tchadiennes qui sont en train de sécuriser l’Adrar des Ifogas à travers son territoire très vaste et son climat hostile à l’homme. Dans la foulée, c’est le Mnla qui se dit maître des lieux, en complicité des terroristes du Mia sous la houlette d’Algébass Intalla. Des forces qui n’ont d’existence que grâce à la propagande à outrance
Mais, le hic est que ce sont des forces françaises et tchadiennes qui sont en train de sécuriser l’Adrar des Ifogas à travers son territoire très vaste et son climat hostile à l’homme. Dans la foulée, c’est le Mnla qui se dit maître des lieux, en complicité des terroristes du Mia sous la houlette d’Algébass Intalla. Des forces qui n’ont d’existence que grâce à la propagande à outrance
Mais, l’armée reste toujours dans les zones libérées, histoire de se préparer pour lancer un assaut final sur Kidal. En tout état de cause, l’opinion publique malienne est très remontée contre le gouvernement de transition qui n’arrive pas jusqu’ici à libérer Kidal aux mains de bandits du Mnla et des terroristes du Mia.
Un grand homme politique de ce pays disait que si Kidal n’est pas libérée, l’élection ne se tiendra jamais. Idem pour le Coren qui met en garde contre l’organisation de toute élection, sans Kidal. Lors de l’interpellation du gouvernement la semaine dernière, les députés n’ont pas fait de la dentèle par rapport au blocus de Kidal, dont ils demandent sa libération totale.
A.M.C