Les opérations d’achat des avions au Mali, surtout ceux militaires, semblent toujours porter des marques de scandales et de corruption. Après l’avion présidentiel, dont nul n’a pu, jusque-là, donner le prix réel, la rocambolesque et dévastatrice affaire des « hélicoptères cloués au sol » défraie la chronique.
Nous avons continuer à investiguer sur la tournure de ce dossier, impliquant plusieurs acteurs constitués en chaîne. Selon des sources concordantes sécuritaires, ce Jeudi 25 juillet, des discussions auraient été engagées entre le pouvoir et consortium AIRBUS pour l’établissement d’un nouveau contrat de maintenance des hélicoptères cloués faute de maintenance.
Il semblerait donc qu’il n’existerait pas de contrat de maintenance, ce qui pourrait certifier que la République a été flouée, non seulement par nos dirigeants, mais aussi par ceux qui ont osé les flouer en leur vendant des armes de guerre sans viseurs et sans assistance de maintenance. Comme le mentionne nos confrères du « Le Sphinx », « volera bien qui volera le dernier. »