La Fédération internationale des ligues des droits de l’homme s’exprimait à Conakry en compagnie de 28 organisations guinéennes de la société civile. Pour les défenseurs des droits de l’homme, il est inconcevable que l’ancien président de la transition veuille se représenter à la prochaine élection présidentielle sans s’être expliqué devant la justice sur son rôle dans le massacre du 28 septembre 2009, au cours duquel les soldats de Dadis Camara ont tué plus de 150 personnes.
Avant de pouvoir briguer la magistrature suprême, il doit rendre des comptes.
Florent Gell Directeur Afrique de la FIDH 21/05/2015 – par Olivier Rogez
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Source: RFI