Un adage ne dit-il pas que « celui qui a un pantalon troué ne doit pas monter sur un arbre, au risque d’exposer ses parties intimes » ? La présidente de la fameuse association continue d’étaler son ignorance. En effet, rappelée à l’ordre par votre fidèle serviteur suite à la sortie hasardeuse de l’Association des policières du Mali (APM) lors du meeting politique, le commissaire divisionnaire par circonstance, Zeïnabou Walet Amidi a décidé d’engager une guerre par presse interposée.
Une guerre à l’issue de laquelle l’indélicate présidente de l’Association des policières du Mali (APM) sortira perdante, car le constat est d’une telle pertinence qu’il crèverait les yeux. Notre combat c’est d’exercer pleinement le droit à l’information des Maliens. Donc, rien ne nous déviera de cette ligne, celle qui consiste à informer librement et dignement nos concitoyens à travers des analyses indiscutables.
« Si bien-dire fait rire, bien faire fait taire », dit-on, les torchons qui défendent bec et ongle la patronne de l’APM manquent de sincérité et de rigueur intellectuelle. Notre démarche ne consiste pas à dresser le bilan de l’APM. Nous n’avons guère besoin de faire la promotion des instruments de propagande, notre plume sert les causes plus nobles et c’est cela notre raison d’être. Sinon, ces torchons n’ont jamais démenti notre analyse, cela nous réconforte dans notre position.
Ainsi, les agissements de l’inspectrice de police devenue commissaire divisionnaire dans les circonstances que nous tairons prouvent à suffisance qu’elle a bénéficié des faveurs de la hiérarchie pour se hisser à niveau au sein de la police. Sinon, comprendre qu’une association créée seulement en 2016 sans avoir à organiser une assise digne de ce nom puisse ravir la vedette à ses sœurs qui existaient depuis des années, au point de présenter la police aux différents congrès internationaux organisés.
Tous les esprits avisés sachent déjà la présence d’une « main de Dieu » pour propulser cette dame au-devant de la scène internationale, celle de la hiérarchie et des autorités de notre pays certainement les retombées de ses activités de séduction, de son incursion dans la politique et sa proximité avec les hommes politiques.
Il convient d’inviter la présidente de l’APM à se taire et à réviser ses leçons et le contenu du Statut des fonctionnaires de police en sa qualité de « commissaire divisionnaire de police ».
Nous y reviendrons !
Mama PAGA