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Focus – Gabéro: vol de moto du CSCOM

Le neveu du chef bandit Amadou Ibrahim dit Oubbel de la zone d’Ansongo a volé la moto du CSCOM du village de Boya dans la commune rurale de Gabéro. Ses traces ont été suivies par les jeunes de ce village jusque dans le fief de son oncle Oubbel. Ce dernier a reconnu que son neveu est capable de tout crime et qu’il s’engage à payer la moto.

cscom konobougou hopital ambulance moto

 

image d’illustration.

 

Les attaques continuent: la population se défend

Un (01) héros et deux (02) héroïnes dans le village de Bornode la commune rurale de Gabéro deux (02) femmes et leur frère ont mis fin aux attaques des bandits armés. En effet, les agents d’une ONG étaient en train de distribuer de l’argent aux gens démunis de ce village quand deux (02) individus à moto ont surgi pour les braquer. Les hommes du village ont fui mais un jeune du village est sorti pour frapper avec un bâton l’un des braqueurs et ses deux sœurs l’ont aidé avec leurs pilons. Les braqueurs ont pris la tangente.

Nord du Mali: Vol comme profession chez certains handicapés physiques

En septembre (le 27 septembre 2017), un car de la Compagnie Rimbo Transport en provenance de Niamey pour Gao a été attaqué dans la zone d’Ouatagouna. Un ancien braqueur qui a eu la main et le pied opposés amputés par le commissariat islamique de Gao au temps de l’occupation a pris part. Il avait eu des prothèses ici à Bamako. Le vol est devenu une profession pour certains au Nord du Mali.

Le stage dans les établissements privés est indispensable pour réunir tous les éléments de réussite, me semble devoir être d’autant plus long que les études ont été plus théoriques et d’un niveau plus élevé

Il faut demander aux directeurs de nos grandes écoles de combattre une tendance fâcheuse qui se répand chez tous leurs  élèves et qui les amène à considérer que leurs diplômes leur confèrent des droits à occuper, frais émoulus  de l’école, de hautes situations. Un diplôme indique qu’on a fait des études de tel ou tel ordre, de tel niveau, qu’on  pourra, dans quelques années, être dans sa spécialité un technicien éclairé, savant, érudit, mais il ne donne aucune des connaissances pratiques qu’il faut pour diriger une ferme, un établissement d’horticulture, un laboratoire de recherches, etc. Il indique enfin qu’on est débiteur envers la société de l’effort qu’elle a fourni pour vous instruire, mais il ne doit jamais créer de privilège. Laisser croire aux jeunes gens sortant des écoles qu’ils ont des droits de ce fait, c’est la plus triste erreur de notre enseignement technique.

 

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