L’Algérie veut se rassurer davantage de l’avenir de l’accord pour la paix après l’engagement du processus de retrait de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA).
Alors que le débat sur la période du retrait de la mission onusienne s’intensifiait au Conseil de Sécurité, le vendredi dernier, le ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale, Abdoulaye Diop et El Haoues Riache, Ambassadeur de la République Algérienne Démocratique et Populaire au Mali étaient à table à Bamako avec comme principal sujet : les perspectives de la mise en œuvre de l’Accord pour la paix.
L’Accord pour la paix issu du processus d’Alger et paraphé en 2015 par le Gouvernement et les ex-rebelles se dirige-t-il vers un avenir incertain ? L’Algérie, la garante principale en tant que cheffe de file de la médiation internationale, tente de se rassurer auprès du (…)
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Seydou Konaté – NOUVEL HORIZON