A propos de la vidéo de l’EI qui montre un adulte accompagnant un enfant qui « exécute » d’une balle en plein front un Israélien musulman (et non un juif ainsi que je l’avais écrit par erreur), la Dépêche du Midi, depuis avant-hier consacre plusieurs articles à ce sujet.
Pour rappel, sur les images, on voit un djihadiste s’exprimant en Français avec l’accent de Toulouse en compagnie d’un enfant. L’homme suit l’enfant qui tient d’une main ferme l’homme, présenté comme un espion d’Israël, à la nuque courbée, dans une combinaison orange selon la mise en scène habituelle de l’EI. L’adulte se complait dans une longue entrée en matière pour justifier et se glorifier de ce que l’enfant va faire, puis l’enfant, qui a une arme de poing en main, se met face à l’homme, qui le regarde en face, il le vise avec assurance et lui tire une balle en plein front. L’homme s’écroule et le mioche, non content lui assène plusieurs autres balles, alors qu’il est de toute évidence déjà mort. Il s’agit de Sabri Essid et d’un des fils de Souad Merah, la sœur du tueur au scooter. L’assassin est âgé de 12 ans, « il devrait être en sixième cette année » explique le directeur de son ancienne école. Il a été identifié par ses anciens camarades de classe du collège Vauquelin à Toulouse.
La vidéo sanglante de l’Etat Islamique visionnée par les gosses
Il faut avoir présent à l’esprit que dés leur plus jeune âge les petits musulmans sont entrainés à égorger les moutons avec moult encouragements. La mise-à-mort n’est donc pas pour eux une cruauté que le monde adulte leur épargne, au contraire cela fait partie de leur éducation.
Personne n’a l’air de trouver étrange que des enfants de 12 ans aient eu l’occassion de visionner cette abominable vidéo. Le directeur de l’école précise tout-de-même au micro de BFMTV, qu’ils vont avoir droit à « une cellule psychologique« pour leur expliquer que ce comportement n’est pas normal »… A quelle sorte de jeunes adolescents cette école a-t-elle à faire, pour devoir expliquer que l’assassinat n’est pas un comportement normal ?
On comprends que ces enfants du quartier du Mirail, sis dans la ville rose, aient besoin de se faire désintoxiquer de l’islamisme agressif dans lequel ils semblent baigner dans leur entourage et leurs familles. Souvenons-nous de la parade des musulmans toulousains sur le périphérique de la ville lors de l’explosion de l’usine AZF, drapeau algériens flottants au vents, avec leurs doigts en signe de « V » de la victoire et cris et enthousiasme triomphants. Images qui avaient été étouffées, de même d’ailleurs que la raison réelle de cette explosion dont les conclusions de l’enquête ne sont pas très convaincantes.
Déduction: la France est en train de couver plein de petits Merah, c’est le résultat d’une politique d’immigration amplement dominée par les musulmans, et d’une politique toujours favorable à l’Islam. Ainsi pour lutter contre l’Islamisme fabrique-t-on des imams, des mosquées et certains estiment même qu’il faudrait augmenter le nombre d’écoles coraniques. Sans compter que Manuel Valls a promis en plus des subsides importants pour ces quartiers qu’il appelle ghéttos ou apartheid de façon très offensante pour le reste de la population française qui ne dispose pas toujours des bons logements des HLM. Quant au ghetto de multiples faits divers rapportent que ces quartiers de non droits sont évacués de la population autochtone sous la persécution et les menaces. Mais là encore ce gouvernement a choisi de récompenser le crime en l’arrosant de subsides nouveaux. C’est comme si, pour éradiquer la criminalité, l’Etat mettait tout le nécessaire à la disposition du crime pour former toujours davantage de criminels.
Mais ce n’est pas tout! L’adulte qui accompagne ce petit monstre et qui dans la vidéo déclare notamment: « Or vous les Juifs, Allah nous a permis de tuer vos frères sur le sol français et ici sur le sol de l’Etat Islamique… », a été identifié comme étant Sabri Essid, le demi-frère de Mohamed Merah, fils d’un ancien compagnon de la mère de Mohamed Merah. Les deux hommes étaient proches. Âgé de 31 ans, Sabri Essid est parti pour la Syrie au printemps 2014 avec des proches, dont une figure du jihadisme dans le Sud-Ouest, Thomas Barnouin. Les deux hommes avaient été interceptés en 2006 par l’armée syrienne alors qu’ils se rendaient en Irak pour y prendre part au jihad contre les forces de la coalition internationale. Ils avaient été condamnés en 2009 à cinq ans de prison. Mais ils n’ont du en faire que la moitié, peut-être… Avec les nouvelles lois laxiste de Christiane Taubira pour faire de la place dans les prisons, on se demande si seulement ils seraient passés devant un juge.
Parti en Syrie au printemps 2014 sans que la police ne bouge
Rappelez-vous, on nous avait dit que certains membres de la famille Mérah était revenue d’un voyage touristique en Syrie avec la surréaliste histoire de la police les attendant au pied de l’avion à Paris tandis qu’ils atterrissaient à Marseille. Parmi ces trois homme se trouvait le mari de Souab Merah, la sœur du fameux terroriste islamiste. Les trois hommes étaient tout-de-même restés en Syrie de février à août… De quoi faire un beau voyage touristique! La farce s’était provisoirement arrêtée avec la remise en liberté des trois hommes qui s’étaient copieusement payés la tête de la police en affirmant qu’ils ne demandaient qu’à se rendre. Une si grande preuve de bonne volonté ne pouvait provenir que de l’innocence… Et comment va-t-on justifier cette fois-ci que cet homme et son jeune beau-fils aient pu aller perpétrer leur crime tranquillement en partant en Syrie en 2014 ? Alors une nouvelle fois, on nous dit qu’une enquête a été ouverte en France, des chefs d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste, association criminelle de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, apologie du terrorisme et indication à commettre des actes de terrorisme. Ce serait la première application en France de ce chef de poursuites. Doit-on attendre davantage de cette procédure que des précédentes ?
Les deux hommes étaient proches. Âgé de 31 ans, Sabri Essid est parti pour la Syrie au printemps 2014 avec des proches, dont une figure du jihadisme dans le Sud-Ouest, Thomas Barnouin. Les deux hommes avaient été interceptés en 2006 par l’armée syrienne alors qu’ils se rendaient en Irak pour y prendre part au jihad contre les forces de la coalition internationale. Ils avaient été condamnés en 2009 à cinq ans de prison.
Sabri Essid, âgé de 31 ans, a épousé les thèses de l’islamisme radical dès la fin des années 1990, a-t-il été précisé sur BFMTV, ce qui signifie qu’il a été pris en main fort jeune et que l’Islamisme qui explose actuellement avec l’Etat Islamique a des racines anciennes et profondes dans notre terre de France.
Le demi-frère de Mohamed Mérah n’en est pas à sa première vidéo