« Nous suspendons notre participation à la commission de conciliation jusqu’à ce que l’État nous paie nos arriérés de salaires »,affirment les enseignants grévistes. Selon eux, même si la loi autorise la rétention de salaires, les jours pendant lesquels les enseignants étaient en classe doivent être payés, soutenant ensuite que « on ne peut retenir plus d’un tiers du salaire d’un travailleur ».
Cette annonce intervient quelques jours après l’échec des négociations avec le Premier ministre. Au cours de cette rencontre, le principal point de discussions a été la prime de logement. Et le « gouvernement n’a fait aucune proposition concrète « , regrette la synergie des syndicats signataires du 15 octobre 2016.
Source: L’Indépendant