Lors de sa visite de travail samedi à Bamako, Mahamadou Issoufou a encore une fois dénoncé la situation de la “ville rebelle” dont les hommes forts sont aussi les animateurs du terrorisme au Sahel et couvrent les multiples attaques jihadistes. Une pierre dans le jardin de la communauté internationale, précisément la France et l’Algérie qui ont de tout le temps cautionné les agissements des séparatistes de Kidal. Encore une fois, pour mettre fin à cette bravade de la nation malienne, on ne devrait compter que sur nous-mêmes d’abord. Mais, hélas !
DAK
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