Les Algériens se sont rendus aux urnes jeudi sans enthousiasme apparent.
Un scrutin pour désigner leurs élus communaux et départementaux dans un contexte économique et
social morose.
Les résultats officiels sont attendus vendredi.
Une cinquantaine de partis politiques et quatre alliances, auxquelles s’ajoutent de nombreuses listes indépendantes, s’affrontaient pour les sièges de plus de 1500 communes et 48 conseils départementaux.
Qu’est ce qui explique la faible participation à cette élection? Ecoutez Outoudert Abrous, analyste politique joint à Alger par Godlove Kamwa.
BBC