Au départ, vu comme une solution consensuelle de l’Accord d’Alger et de la Réconciliation nationale, le dit découpage connait un refus populaire. Entre calculs politiques et rivalités historiques, la prochaine carte géographique et électorale du Mali ne porte pas de germes d’une divergence accrue.
Cinq (05) ans après sa signature, l’Accord d’Alger est bien caduc. Si les tenants de la Transition entendent ‘‘l’appliquer intégralement’’, ils apprennent assez de choses à leurs dépens. Bien que la mesure n’est pas explicitement inscrite dans l’Accord de paix, elle n’en est pas moins une composante: l’ « effet domino » suite au découpage du septentrion est désormais effectif au Mali.
La carte administrative s’est retrouvée sous les projecteurs depuis la création des régions de Ménaka et Taoudéni. Alors que le régime Ibrahim Boubacar Kéita s’en est débarrassé au moment des législatives de 2020 qui aura raison (…)
BAMOÏSA
NOUVEL HORIZON