Le Président de la plateforme « Sauvons le Mali », Hassane Sidibé, a présidé la cérémonie de lancement de la campagne de grattage des routes, d’installation de forages et de pulvérisation d’insecticide dans la commune IV du district de Bamako. C’était le 2 décembre dernier au terrain Bélier de Lafiabougou.
Dans le cadre de la mise en œuvre de ses actions prioritaires, la Plateforme « Sauvons le Mali » sous la houlette de son président Hassane Sidibé, 3ème adjoint au maire de la commune IV, a procédé au lancement d’une vaste campagne de grattage des routes, d’installation de forages et de pulvérisation d’insecticide pour soulager les habitants de la commune IV.
La cérémonie qui a eu lieu sur le terrain Bélier de Lafiabougou, a enregistré la présence de plusieurs personnalités au nombre desquelles on pouvait compter le représentant du maire de la commune, le chef du quartier de Lafiabougou et plusieurs membres de la plateforme.
Au cours de cette cérémonie, le président Hassane Sidibé a offert un corbillard à la mosquée Ouologuème de Sébénikoro et un véhicule de pulvérisation pour lutter efficacement contre le paludisme dans la commune. Aussi, il a donné le coup d’envoi des travaux de grattage des routes. Ces actions citoyennes qui traduisent le souci des responsables de la Plateforme et surtout de son président d’être près des citoyens, ont été largement saluées par les habitants de la commune IV. Des initiatives comme celle-là méritent d’être encouragées.
La Plateforme « Sauvons le Mali » est un regroupement d’associations de jeunes, de femmes et de corporations diverses. Son objectif est le développement économique et social du Mali. Elle cultive le patriotisme, le sens de la justice sociale, la gestion saine des ressources du pays.
Parmi les actions prioritaires de « Sauvons le Mali », figurent en bonne place l’assainissement du cadre de vie pour la santé de la population, la désinfection régulière des caniveaux pour réduire sensiblement les cas de paludisme, la gestion rigoureuse des ressources collectives à travers la moralisation des dépenses publiques, la création d’emplois dans les secteurs de production comme l’industrie, le commerce et l’agriculture.
Bourama Camara stagiaire
Source: Le Challenger