Malgré la « prise en otage » de la base de données du Recensement administratif à vocation d’Etat civil (RAVEC) par le prestataire IDEMIA, une société française, les autorités continuent d’exiger aux postulants des différents recrutements dans l’armée d’une copie de la carte NINA légalisée ou la fiche individuelle. Un choix qui ne fait que des malheureux parmi des milliers de jeunes désirant porter l’uniforme.
Source : l’Indicateur du Renouveau