À 78 ans, l’icône du cinéma français débarque sur le réseau social. Elle n’a pour le moment posté qu’un seul tweet, en forme de mise au point à l’égard d’un article du Figaro.

Après la chanteuse Céline Dion, c’est l’actrice Brigitte Bardot qui a ouvert son compte Twitter ce lundi, authentifié par la fondation de défense des animaux qui porte son nom. Avec la mention «compte officiel», qui n’est pas encore validée par le réseau social, la page domiciliée à Saint-Tropez, où elle possède une maison, est illustrée par un portrait récent de la star et un coucher de soleil sur la baie des Canoubiers, à mi-chemin du petit port de la station balnéaire varoise et des plages de Pampelonne.

Bardot réserve son premier tweet à une mise au point adressée à un journaliste du Figaro, qui a publié ce samedi, un diaporama annonçant la vente de l’ancien appartement parisien du milliardaire Günter Sachs, qu’elle avait épousé en 1966. «Marre que l’on usurpe mon identité pour vendre n’importe quoi, je n’ai jamais mis les pieds dans cet appartement!» a posté la comédienne de 78 ans. Le diaporama en question montre quelques pièces du duplex luxueux dans lequel les époux auraient vécu durant leur relation.

Dans le communiqué de presse informant de la mise en vente dudit duplex, situé dans le 16e arrondissement, il est bien stipulé que «l’actrice mythique et le richissime play-boy allemand, petit-fils du fondateur d’Opel» «eurent pour port d’attache cet appartement dont les somptueuses pièces de réception ont vu défiler de nombreuses personnalités». Contacté par Le Figaro, l’agence de presse Galivel & Associés, représentant le client Barnes, vérifie en ce moment cette information auprès de son client et ne possède pas d’éléments supplémentaires suffisants à sa disposition pour procéder à un démenti.

Parmi les sept abonnements de la comédienne, par ailleurs fervente militante de la cause animale, on compte des associations rattachées à sa fondation notamment domiciliées à Bazoches (Nièvre) et La Mare Auzou (Eure), mais aussi un membre de l’association de défense des éléphants dénommé Vincent Fragne et le journaliste Henry-Jean Servat, ami de Bardot, qui se réjouit de la voire figurer parmi ses abonnés.