L’Hôtel Radisson Blu de Bamako a abrité le samedi 9 juin 2018, la cérémonie d’ouverture de l’atelier de validation technique de l’avant-projet du nouveau programme décennal de l’éducation (PRODEC 2), avec les services déconcentrés et décentralisés de l’éducation et de la formation professionnelle. Cet atelier de quatre jours est organisé par les ministères de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, de l’Emploi et de la Formation professionnelle.
La cérémonie d’ouverture des travaux était présidée par le ministre de l’Education nationale, Pr Abinou Témé, en présence du ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Maouloud Ben Kattra et de nombreuses autres personnalités. Dans ses mots de bienvenue, le représentant du maire de la commune IV du district de Bamako a souhaité l’adéquation entre la formation et l’emploi afin de résorber le chômage des jeunes.
Selon le ministre de l’Education nationale, Pr Abinou Témé, cette rencontre constitue une des étapes importantes du processus d’élaboration du nouveau Programme décennal de développement de l’éducation et de la formation professionnelle. En effet, dit-il, elle se tient après les ateliers de concertations techniques régionales et nationales sur les résultats des études et évaluations. Il y a eu aussi des ateliers de validation technique des priorités et stratégies du PRODEC 2 et l’atelier de validation politique du modèle de simulation.
Aux dires du ministre, le présent atelier a pour objectif principal d’examiner et de valider techniquement les projets de programmes et sous-programmes, ainsi que le cadre logique du Programme décennal de développement de l’éducation, deuxième génération. Durant l’atelier, les participants ont examiné les projets de programmes, sous-programmes et cadres logiques du nouveau plan sectoriel de l’éducation et de la formation professionnelle, avant de faire des propositions d’amélioration et d’enrichissement des projets de programmes, sous-programmes et cadres logiques du nouveau plan sectoriel, et de valider et s’approprier les projets de programmes, sous-programmes et cadre logique du nouveau plan sectoriel.
Aguibou Sogodogo
Source: Le Républicain